Entrainement et santé

Une nouvelle page  de partage  pour l’entrainement, les conseils santé et la nutrition

Comment rouler en peloton , se placer et se protéger :

Le vent étant le premier ennemi du cycliste, il parait donc capital de savoir s’en protéger lorsque l’on peut rouler  groupé et en peloton de manière plus sportive.

Avec les mêmes techniques, comment se placer pour le sprint

Avant d’attaquer la saison , un cycle de renforcement musculaire s’impose :

Au même titre que le trail, le cyclisme en général impose également, un cycle.

Faites donc confiance aux coach diplômes d’État pour votre préparation.

Vous êtes dirigeants de clubs ou adhérents, particulier , n’hésitez donc pas a prendre contact avec moi ;)

 

Equilibre acido basique par Sébastien Bême:

Les bases de l’équilibre acido-basique et la notion de tampon physiologique

Notre corps fonctionne grâce à une succession de réactions qui permettent toutes les fonctions de notre organisme (création d’énergie, utilisation d’énergie, pénétration dans les cellules, contraction musculaire, envoi d’influx nerveux, construction des organes…). Chacune de ces réactions nécessite un équilibre acide-base différent (pH). C’est pourquoi chaque organe, voir chaque organite, possède un pH personnel. L’atteinte de ces différents pH se fait grâce à un système régulateur : des tampons basiques et acides.

Si l’on alimente l’apport en protons (fonction acide) d’une solution, le rapport entre les bases et les acides change et le pH baisse (le PH est acide en dessous de 7). A l’inverse, si on retire des protons, le pH augmente et devient plus alcalin.

De même, toutes les réactions dites biologiques (au sein de notre organisme) se font grâce à des molécules que l’on appelle enzymes. Chacune de ces enzymes nécessite un équilibre acido-basique particulier pour fonctionner de manière optimale (ce qui ne veut pas dire qu’elle ne fonctionne pas si ce n’est pas optimal).

Les systèmes tampons qui vont permettre la modification du pH et ainsi l’activité des enzymes sont divers. Il n’existe pas un tampon universel…

 

 Acide lactique , ce qu’il faut savoir  par Sébastien Bême

L’acide lactique c’est pas tabou, on n’en viendra pas à bout !

Malgré 2 décennies (1982) à rabacher la même chose, on lit, on écoute et on visionne encore que l’acide lactique est un poison ou un déchet (voir les 2 à la fois).

Pour le quidam lambda, la différence est nulle et est surtout psychologiquement flatteuse: ça pique, on est obligé d’arrêter l’entrainement non par faute de manque  de motivex, mais en raison d’une cause extérieure indépendante de notre volonté.

Quand cela émane de sites dits sérieux, d’émissions télévisuelles où des recherches ont été faites, c’est préoccupant. Pour un entraîneur, c’est plus gravissime !

Pourquoi? Pourquoi s’entêter à vouloir que l’acide lactique ne soit pas un poison? On pourrait renverser la vapeur et demander aux protagonistes dans l’erreur pourquoi s’arrêter à une telle facilité intellectuelle.

La réponse est simple : comprendre pourquoi l’acide lactique n’est pas un déchet ni un poison implique une remise en question complète de méthodes d’entraînements surannées, entendre dépassées (type endurance–>force spécifique). Pour le milieu de la musculation, cela impliquerait une obligation de concevoir l’entraînement dans sa globalité et non pas par le petit bout de la lorgnette à savoir l’hypertrophie exclusive…

 Faut il encore manger des pates ? par le Docteur stéphane Cascua

 

Dans l’esprit de tous les sportifs, les pâtes apportent l’énergie indispensable pour assumer les efforts longs et intenses. Les recherches récentes semblent mettre à mal ce monopole nutritionnel.

 L’homme préhistorique, un sportif d’endurance.

Il y a environ 10 000 ans, au début de néolithique, l’homme s’est sédentarisé. Elevage et agriculture lui ont permis de consommer bien plus de céréales. Auparavant, au cours des millions d’années du paléolithique, il était nomade et chasseur cueilleur. L’étude des populations ayant conservées le même mode de vie, notamment les Bushmen d’Afrique australe, se révèle très instructive. L’homme préhistorique brûlait beaucoup d’énergie, environ 3000 à 3500 kilocalories par jour, comme un sportif s’entraînant 1 à 2 heures quotidiennement. Après de longues marches de transhumance et des périodes de chasse plus intenses, il avalait 3 fois plus de protéines que nous, des fruits et des légumes. En guise de féculent, il ingérait quelques graminées cueillies sur son chemin !

L’homme moderne, inadapté aux féculents ?…

Nutrition sportive, le bon IG au bon moment

Du bon usage du sucre au quotidien

Généralement,  la stratégie IG bas demeure l’idéal lorsqu’on pratique un sport , a fortiori si c’est pour se débarrasser de quelques kilos . Une étude a d’ailleurs montré qu’en limitant les élévations brutales du taux d’insuline (dues à la consommation d’aliments à IG élevé), une alimentation privilégiant des féculents type lentilles et autres légumes secs (soit des IG bas) s’accompagnait d’une utilisation accrue des lipides et d’une épargne relative du glycogène musculaire à l’effort. Traduction : on brûle davantage de graisses à l’effort et on peut le poursuivre plus longtemps, c’est donc tout bénef !…

 

 

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